domingo, 30 de octubre de 2011
miércoles, 26 de octubre de 2011
martes, 25 de octubre de 2011
domingo, 23 de octubre de 2011
Texto en Francés
ENRICO ET LES POISSONS
Cette histoire m’est parvenue occasionnellement lors d’une discussion avec Pausanias, médecin nihiliste, qui a développé une crainte pour les nouvelles annonces et a préféré que, pour être écrivain, je raconte l’histoire. Les intervalles et les dates ont étés désignées par lui.
Il avait une forme de poisson. C’est ce que disaient de lui l’épouse et la grand-mère dans la canicule du 21 Aout. Sa maison était petite, elle avait une seule chambre, le salon et un espace pour la salle à manger. Le patio était grand, elle avait une chambre de service au fond où l’on gardait de vieux objets. Sa femme était grande, elle avait des yeux de couleur olive, une peau pale et fine, et, une bouche, petite et fine. Son halène, l’avait décrit Enrico, était un halo de cannelle.
Des toilettes, Enrico Gava appela Magdalena. Il montrait, seulement à des occasions spéciales sa capacité. La famille d’Enrico qui les visitait parfois et sa femme, disaient ironiquement qu’avoir en sa possession un sphincter qui créerait un poisson vivant était une faculté conféré aux dieux.
-Dieu – répondait-il fièrement – est une supercherie, ceci est plus grand. Malgré cela il continue à manger de l’avoine mélangé à du sucre avec de l’eau chaude. Parfois, la constipation ne lui permettait pas de réaliser sa prouesse. Il prenait deux litres d’eau, au déjeuné, il combinait un verre de lait à des biscuits que Magda préparait ; ainsi comme un peu de rhum pour faciliter la digestion. Le régime alimentaire du soir était de la laitue, du soja en forme de viande et une coupe de porto. Ils n’ont jamais pu déterminer comment était-il possible que ces poissons venaient de lui. Mais cet acte était déjà commun. Des frères et amis proches le visitait et avant de réaliser la preuve, ils inspectaient les toilettes pour voir s’il n’y aurait pas un sac avec un petit émacié.
« infâmes », a pensé Enrico.
Il demandait un verre d’eau à sa femme, avant de finir le rituel. Elle le lui apportait y lui baisait le front ; il souriait comme un enfant. Les spectateurs, lui demandaient de montrer le verre attentivement et après il choisissait l’un d’eux pour l’accompagner dans sa transe. C’était facile, un spectateur, qui, par pudeur appartenait seulement à la famille et aux proches.
Enrico, dans son étrange aspect, laissait pousser la barbe et permettait qu’elle la lui réduise deux fois par mois. Son front était large, et son sourire laissait briller une denture firme et nacre. Il frôlait à peine la trentaine. Jusqu’à ce moment-là il n’avait pas d’enfant avec Magda, mais il attendait le moment opportun pour qu’elle les désire.
Le mois suivant, 18 Septembre, le Docteur de la grand-mère voulait connaitre son succès. Sa femme était d’accord, elle présentait qu’Enrico pouvait démontrer, même scientifiquement, d’une manière tacite son exploit. Mais, à l’heure de la visite du docteur, Enrico, énervé, a repoussé la démonstration.
Galva était seulement un homme prodige, rond avec des manies et de la certitude. Elle avait proposé l’idée de publier l’acte et encaisser un prix fixe par groupe ; parce que pour ce moment précis elle avait lu un livre de Gabriel Garcia Marquez qui décrivait un ange tombé du ciel dans le village de la cote (Costa), et grâce à lui, la famille qui l’a capturé a pu bâtir une demeure. Elle n’a jamais lu la fin. Il a pensé à l’argent, la célébrité, et les rêves de voyages impossibles qui étaient gravé dans la mémoire de sa femme depuis le début de leur mariage ; mais elle respectait la nature de son prodige et ne voulait pas se vendre.
-Enrico, je ne veux pas être une femme comme les autres – disait-elle – Je mérite plus, nous I’avons attendu pendant beaucoup de temps.
Cette phrase était un reproche. Elle n’inspirait que méfiance. Il a fini par penser combien absurde serait-ce de voir des docteurs inspecter son cul ; et les médias poser des questions sur ses manières de créer, qui étaient aussi absurde.
-je chierai comme je veux- répondit-il entre les dents.
La grand-mère Matilde a fixé un rendez-vous avec le docteur. Magda s’est appliquée à acheter des ensembles de salle de bains et maintenir la maison propre.
Enrico était à la poste. Il reviendra bientôt du travail.
Le docteur est arrivé. La femme lui a offert un verre d’Oporto. C’était un soir nuageux. Elle était surprise par l’aspect et les manies tellement fines, quasi féminines du docteur. Elle regardait ses yeux de couleur turquoise profond et écoutait de ses lèvres de glissement de ses mots.
-vous arrivez un peu tard ; je n’ai pas beaucoup de temps : j’ai un autre rendez-vous – répondait le médecin.
Elle a sourie et l’a guidé vers la salle de bains afin de voir les nouveaux ensembles de salles de bains et de le distraire, mais le docteur regardait la montre. Alors Magda a regardé ses cheveux grisâtres et a pensé à « l’homme mature, défini et triomphant ».
-il ne tardera pas- a-t-elle répondu, en se dirigeant, les deux, vers le salon.
- vous êtes une bonne hôtesse- dit le docteur- mais je dois partir, je vous laisse cette carte.
Ella a regardé la main du docteur qui ne ressemblait en rien à celle d’Enrico : elle était douce et soignée, sans aucun dommage ; totalement saine.
-mais il serait préférable que vous m’appeliez lorsque je pourrai parlez avec vous- ajouta le docteur.
Enrico entra et regarda l’étranger sans se préoccuper de son retard. Vi que Magda était offusquée. Y l’a baisé pour la saluer et s’en alla à la salle de bain pour faire quelque chose magnifique : il a laissé un poisson multi couleur.
-aujourd’hui j’ai eu un jus de pamplemousse au lieu d’un jus d’orange au déjeuner- dit-il, content, en tenant le poisson dans un sac en plastique.
« La variété de la nourriture - dit-il – est malgré tout comme-si nous nous enfoncions dans un jeu de hasard. C’est seulement la volonté de changer l’ordre et les types d’aliments, mais sans ces- ser de provoquer ce prodige. »e d
Vers la fin de novembre, il faisait déjà un froid d’hivers, la grand-mère Matilde leur a rendu visite avec le docteur. L’inspection n’était d’aucune aise pour Enrico. Le docteur, durant une heure, expliquait les cas étranges qu’il vit ; mais de ses vingt ans d’expérience, il n’a jamais vécu un cas comme celui-ci. Il était stomatologue à l’hôpital central.
Il mentionna l’époque où il était encore interne dans un hôpital du Texas ; et la manière qu’il a vu une microchirurgie d’œsophage avec une simple camera introduite dans le corps du patient. Les femmes étaient émerveillées. Il semblait que l’espace de la maison était insuffisant pour contenir un personnage aussi important. Le docteur changea de sujet et dit :
-appelons deux proctologues et un spécialiste en gastroentérologie de l’hopital central pour qu’il vérifie le succès.
-oui mon fils, tu veras que meme la télé viendra chez toi-completa la grand-mère Matilde.
Elle, malgré sa vieillesse, avait la peau douce et lisse ; des yeux vivants que la lumière remplis- sait d’une couleur bleue. Elle avait des formes d’une jeune femme, mais sa voix, un peu enrouée par le temps, la dénonçait toujours. Son âge n’était pas évident par ce qu’elle ne s’était pas timorée encore, et maintenait la vigueur d’une femelle endormie.
Elle était la tante de Magda, mais Enrico la voyait toujours comme la mère de sa femme. Sa manière de se référer à elle paraissait une moquerie sournoise devant les soins que Matilde procurait à cette personne.
Pendant la causerie, Enrico n’a répondu à aucune annotation, il s’est très bien dissimulé jusqu’à la fin de la conversation. Il l’a interrompu, en invitant le docteur à réviser par lui-même, l’espace.
Le médecin est entré pour visiter le dépôt, le vase de toilette, les placards, la tuyauterie et a même senti l’intérieur. – il ne sent même pas au poisson – dit Enrico. La grand-mère Matilde et Magda parlaient des médias et la possible fortune qui venait. À la sortie du prodige et du médecin des toilettes, elles ont dévié la conversation. Enrico a invité le médecin à entrer voir sa prouesse.
Apres avoir pris le thé que grand-mère Matilda avait préparé, le médecin, Pausanias, s’est retiré à parler avec les femmes au salon. Ils observaient le tableau de la dernière scène qui couronnait la chambre. - j’ai lu sur ce sujet – dit le médecin, mais cela ne parait que dans les journaux de sensationnalisme ou dans la fiction. Aucune revue médicale n’enregistre des cas en dehors des altérations génétiques qui modifient les appendices.
Magda ouvra les yeux et chuchota : « il semble être réel ».
-La réalité et la fiction sont construites sous un même patron – dit-il, en déposant son thé sur la table -. Par exemple, Gabriel García Marquez écrit des contes au service de la réalité mais ne se fixe pas à elle.
-Je croyais- que l’on n’écrivait que la vérité.
-La vérité- dit la grand-mère Matilde – est juste une invention de l’esprit humain – en montrant
du doigt son front.
Enrico cria de l’intérieur, le docteur entra, et vu un long poisson avec une moustache de chat qui nageait avec plaisance.
-cela arrive lorsque je suis nerveux – réplique t-il.
Ce que le Docteur Pausanias ne savais pas, était que ces poissons ne vivaient que douze heures et après ils flottaient à l’envers. C’est pour cela qu’il n’y avait pas d’aquarium pour eux.
Ils sont de couleurs tièdes – dit Enrico pendant qu’il les attrapait dans un sac en plastique.
Ils sortirent des toilettes, et le docteur sécha son front.
Pausanias n’a plu parlé de toute la soirée, il a juste pris trois tisanes sans revenir sur le sujet
jusqu’à la tombé de la nuit. Celui-ci s’excusa auprès des trois, fit un semblant de sourire, un etre aussi commun pourrait finir un acte sublime. La femme accompagna le docteur à la porte, lui laissa un message à la main que le docteur se pressa de garder dans la poche de sa veste.
« Définitivement il m’envie – pensa Enrico – mon futur en est arrivé là. Si seulement j’étais
quelqu’un d’autre, cela serait plus facile.».
-pourquoi cela te dérange t-il ? Ce n’est plus irréel que si quelqu’un écrivait une histoire – réplica la grand-mère.
Elle lui répondit d’une manière énergétique : « je ne laisserai aucun autre spécialiste me voir, fait vos plan de vos propres vies et j’en ferais de la mienne », il dirigea son regard vers sa femme, et abandonna rapidement la salle. Il l’a deviné, elles ne céderaient pas.
La grand-mère et sa femme arrangèrent des rendez-vous avec des psychologues. Pour cette obstination, il annula les visites. Même les parents les plus proches furent écartés.
Le 24 décembre ; Enrico n’est pas allé à la poste, il est resté à la maison pour les fêtes. Les soup-çons l’envahirent. Il pensait à ce que complotaient ces femmes. Il décida de se libérer de cela sans confrontation.
-je m’en vais – il mit sa jaquette.
-tu ne peux pas. La grand-mère a dit qu’elle viendra passer la nuit – la grand-mere sorti de la cuisine.
Enrico regarda son portefeuille et se dirigea vers la porte.
-Reste-ici bon sang ! cria la femme lorsqu’il avait déjà traversé le seuil.
Enrico marchait en écoutant une série de cris, mais il ne voulait pas retourner à discuter. Le chemin était long. Au passage, il vit une voiture. Il continua à avancer. Il écouta les derniers cris qui venaient de la porte, mais il ne s’arrêta point. Un taxi s’arrêta au coin, il monta rapidement pen-dant que le ciel laissait apparaitre la lune.
Il rentre chez lui après 12 heures. Il n’y a pas de lumière « la grand-mère m’a piégé », dit-il en souriant avec une voix basse. Il se dirigea vers le salon et vit la tablette pleine de verres et de cuil-lères sales. Il alla vers la salle à manger et aperçu que tout était confondu dans la pénombre.
Magda !! Magda !! Cria t-il, mais remarqua qu’il est seul dans les ténèbres, il mit la lumière et entra dans la chambre, donna un coup de pied à une bouteille de liqueur qui roula jusqu’à la porte qui donne au jardin. Elle était fermée, il se dirigea vers celle-ci quand, soudain, il écouta des bruits qui venaient de la chambre de service et du sous-sol. Dans le dépôt des vieilleries. Une descente nocturne le fit déchiffrer ses sons au fur et a mesure qu’il s’approchait. Il ouvrit la salle et vu Magda et Pausanias nus ; la tante Matilde sur la chaise observant la scène.
« Cela est ce qui arrive lorsque je quitte ma maison » pensa t-il en regardant la grand-mère ;
« c’est la haine que les mesquins ont pour les biens des autres ». sa conscience s’éclaircit, « c’est ce que cela coute de connaitre le monde, tu paies cela avec la perversion. ». Il ferma la porte en repartant vers la salle de bains. Il déféqua un poisson et tira la chasse.
-il est tard – se dit-il, comme pou renier la vérité.
Il alla dans sa chambre, prit les affaires de sa femmes et les enroula. Ensuite il sorti l’équipage à la rue.
« C’est le prix de la perversion que doit payer l’homme pour la connaissance. », se dit-il. Il sentit une pression à la gorge qui ne lui permettait pas prendre de l’air.
Sa femme venait, nue, à travers la coure, il retourna récupérer la bouteille qu’il avait tapé d’un cout de pied, cassée, il l’attrapa par le coup, montrant les bordures de cristal et se dit : « je vous attends ici, je sais que vous viendrez ». Magda, saoule traversa le seuil vers la cuisine et le crois-sant de lune apparu, brillante, au milieu du ciel.
Pausanias disparu après m’avoir relaté ces fragments. La dernière fois je l’ai vu quémander dans la rue et ne me reconnu point. Apres j’ai appris qu’il était mort nu dans un parque publique ; il n’avait plus ses testicules, les cicatrices se voyaient encore entre les jambes.
Je n’ai pas cru à cette histoire.
Miguel Tonhatiu
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Tel: 5787-7349
sábado, 22 de octubre de 2011
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